jeudi, 11 février 2010
L'Union Européenne profite au crime organisé
Ex: http://www.lechocdumois.com/
La Roumanie et la Bulgarie, entrées dans l’Union européenne en janvier 2007, devaient accéder à l’espace Schengen en 2009. Déjà reporté à 2011, ce nouvel élargissement n’arrivera vraisemblablement pas avant 2013, car la Commission de Bruxelles doit faire face à des imprévus de taille : la corruption endémique des élites de ces pays et l’augmentation notable du crime organisé en Europe depuis leur entrée dans l’Union.
La Commission vient d’ailleurs de commander une étude fort discrète au criminologue bulgare Tihomir Bezlov, ancien prestataire de service de Lehman brothers ou de la Deutsche Bank, pour mesurer l’ampleur du phénomène et le combattre. Selon lui, l'entrée de ces pays dans l’U.E. a eu des effets secondaires étonnants sur le crime organisé qui, saisissant toutes les opportunités à tirer de cette intégration, s’est lancé en politique pour obtenir des postes clefs à tous les échelons du pouvoir et de l’administration. En 2008, la Commission de Bruxelles a rendu un rapport des plus critiques sur la corruption et les liens évidents entre classe politique bulgare et gangstérisme, bloquant même 500 millions d’euros de fonds européens en attendant une meilleure gestion de Sofia. Elle menace également de suspendre les milliards des fonds structurels de développement. Ici, les policiers craignent pour leur vie depuis que le ministre de l’Intérieur, Rumen Petkov a été contraint de démissionner, en avril 2008, sous la pression de la Commission. Soupçonné de détourner les subventions au profit du crime organisé, il était surtout accusé d’avoir livré l’identité d’un agent infiltré dans un trafic d’êtres humains !
Selon Europol, l’arrestation de criminels bulgares et roumains a augmenté de 40 % depuis leur entrée dans l’U.E. Les groupes criminels bulgares opèrent spécifiquement sur les escroqueries à la carte bleue, le trafic de drogues, de cigarettes, d’armes, de métaux et, principalement, d’êtres humains : mendicité organisée, trafic d’organes, d’enfants, prostitution, industrie pornographique. A Sofia, la capitale de la Bulgarie, on peut acheter un bébé pour 30 000 euros. D’après Bezlov, dont l’analyse est confirmée par un rapport d’Europol (2008), les criminels « bulgares » sont en fait « des Roms et des Turcs ethniques, implantés en Bulgarie ». Les Bulgares turcisés règnent sur le trafic d’héroïne, en lien avec la Turquie. Les Roms, eux, sont les patrons de l’enlèvement de femmes « ethnics bulgarians » – traduire par « Bulgares de souche ». Selon les estimations les plus modestes, l’exploitation sexuelle de ces femmes rapporte à leurs exploiteurs entre 900 millions et 1,8 milliard d'euros par an, soit 3,6 % à 7,2 % du PIB bulgare !
Comme tous les groupes criminels organisés, Roms et Turcs de Bulgarie sortent volontiers de leur domaine de prédilection. En octobre 2008, une enquête de la P.J. de Varna, sur la mer Noire a mis à jour un réseau contrôlant les revenus de la drogue et de la prostitution sur la côte. A sa tête, trois conseillers municipaux : deux représentants du parti Turc local et un militant des « libertés et des droits de l’homme » !
Les gangs roumains, eux, ont tendance à s’agrandir depuis leur entrée dans l’U.E ! Les gangs roumains multiplient les activités et se fixent des objectifs de plus en plus importants. Ils sont impliqués, dans la majorité des Etats membres de l’Union, dans le trafic de drogue, d’êtres humains, les fraudes numériques et les escroqueries à la carte bleue. Du fait de leur réputation de violence parfaitement méritée, ils compensent leur faible nombre par le recrutement d’autochtones fidèles. En Italie, leur ascension criminelle, rapide et brutale, est semblable à celle de la mafia albanaise (elle aussi basée sur des critères ethniques) : les Roms originaires de Roumanie s’emparent – au détriment des mafias italiennes ! – de nombreux « marchés » criminels. Leur principale base de travail est le port de Constansta, sur la mer Noire, une immense plaque tournante du commerce international, avec des flux difficiles à contrôler. Roumanie et Bulgarie servent également de lieu de passage, du fait de leurs frontières poreuses, aux trafics venus d’Europe de l’Est.
La Commission de Bruxelles a mis en place, en 2008, des commissions de coopération et de vérification pour aider Sofia et Bucarest à combler leurs lacunes dans la lutte contre la criminalité et la corruption. En attendant, le 29 janvier, grâce au mandat d'arrêt européen, un proxénète dit « Roumain » était extradé de Bucarest vers la France, où il exploitait 80 jeunes femmes depuis un an.
Patrick Cousteau
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mercredi, 14 octobre 2009
Jacques Barrot et les mafias balkaniques
Jacques Barrot et les mafias balkaniques
Le Commissaire européen à la Justice, le Français Jacques Barrot, réclame de l’Europe une vigilance face aux mafias balkaniques. Ces réseaux de criminalité organisée constituent un problème international qui ne concerne pas uniquement les pays du versant occidental des Balkans. Cependant, l’ancrage géographique de ces mafias dans cette région-là revêt désormais une importance cruciale, parce que ces pays demandent à adhérer à l’UE. Par les effets pervers de la présence de ces mafias, ils perdent leur stabilité intérieure et, partant, risquent de ne pas recevoir de feu vert de Bruxelles. C’est en gros la teneur des propos de Barrot lors d’une conférence sur la lutte contre la criminalité organisée qui s’est tenue récemment à Belgrade. D’après Barrot, 100 tonnes d’héroïne, d’une valeur sur le marché noir de 416 millions d’euro, ont été introduites frauduleusement dans l’UE rien qu’en 2008.
En juillet, la Commission européenne a suggéré de supprimer l’obligation d’obtenir un visa pour entrer dans l’UE à tous les ressortissants macédoniens, serbes et monténégrins. Et cela, dès le début de l’année 2010. La décision finale tombera fin 2009. En novembre, la suggestion sera débattue au Parlement européen. Le Président serbe Boris Tadic a promis de combattre durement les organisations criminelles en Serbie, et au-delà des frontières serbes. Mais pour pouvoir passer à l’action, il demande l’aide de l’UE.
(source: “Junge Freiheit”, n°41/2009)
Commentaires:
- Le développement des mafias balkaniques a été rendu possible parce que les Etats-Unis ont appuyé certains réseaux lors de leur guerre contre la Serbie en 1999. Les principales puissances européennes de l’OTAN ont été complices de cette guerre inutile et inique.
- Voilà que l’Europe réclame maintenant de lutter contre des structures mafieuses qu’elle a contribué, via l’OTAN, à consolider.
- Les Etats-Unis vont-ils lâcher leurs alliés mafieux au risque de perdre toute influence dans les Balkans au profit de l’Europe?
- Les Etats-Unis vont-ils faire pression sur le Parlement européen pour qu’on lève l’obligation du visa et introduire ainsi des ferments supplémentaires de dissolution dans l’Union européenne?
- Qui dit “mafias balkaniques” songe immédiatement aux mafias albanaises, dénoncées en France par Xavier Raufer. L’Albanie est pressentie pour adhérer à l’OTAN. On sait que les Etats-Unis insistent pour que chaque nouveau membre de l’OTAN devienne automatiquement membre de l’UE. Dans un tel contexte, l’intervention de Barrot est-elle une gesticulation inutile?
- La présence serbe au Kosovo permettait d’immuniser cette province contre la contagion mafieuse. Pourquoi dès lors l’avoir délogée?
- L’Europe nage dans ses contradictions.
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vendredi, 12 juin 2009
Roter Spitzeneurokrat
Roter Spitzeneurokrat
Die Sozialisten sind an der Wirtschaftskrise mitverantwortlich
von Andreas Mölzer
Als farbloser Eurokrat zeigte sich einmal mehr der rote Spitzenkandidat für die EU-Wahl, Hannes Swoboda, bei der ORF-„Pressestunde“ am vergangenen Sonntag. Der Vertrag von Lissabon, der Österreich sowie den übrigen 26 EU-Mitgliedstaaten die letzten Reste ihrer Souveränität nehmen soll, wurde vom stellvertreten Vorsitzenden der sozialdemokratischen Fraktionen im Europäischen Parlament in den höchsten Tönen gelobt. Damit wird deutlich, daß der angebliche Schwenk in der roten EU-Politik, den vor einem Jahr der damalige Bundeskanzler Gusenbauer und sein nunmehriger Nachfolger Faymann in einem Leserbrief an den Herausgeber der größten Tageszeitung des Landes kundtaten, nichts anderes eine Bürgertäuschung war.
Aber der Vertrag von Lissabon scheint Herrn Swoboda noch nicht weit genug zu gehen. Schließlich schwadronierte er am Pfingstsonntag im Staatsfunk von einem „EU-Sozialvertrag“. Gewiß, die EU muß aus der gegenwärtigen Wirtschafts- und Finanzkrise, zu deren Entstehen sie durch ihre Huldigung des freien Kapitalverkehrs erheblich beigetragen hat, ihre Lehren ziehen. Aber dazu braucht es keinen Sozialvertrag, der womöglich Brüssel Kompetenzen in den Bereichen Arbeitsmarkt und Soziales zuzuschanzt. Wichtiger wäre statt dessen ein Umdenken in der EU-Polit-Nomenklatura, damit sich die EU endlich in einen Schutzwall gegen die Globalisierung nach US-amerikanischem Vorbild verwandelt. Daß die EU bislang der Verteilerkreis der Globalisierung war, ist freilich nicht allein die Schuld der ach so bösen Neokonservativen, wie Swoboda in der „Pressestunde“ behauptet hat. Schließlich wird die allmächtige EU-Kommission von Europas Christdemokraten und Sozialdemokraten nach einem ausgeklügelten System zusammengestellt, das sogar den heimischen rot–schwarzen Proporz in den Schatten stellt. Ähnliches gilt für das Europäische Parlament, wo alle wichtigen Entscheidungen, bevor darüber im Plenum abgestimmt wird, von den beiden großen Fraktionen, der Europäischen Volkspartei und den Sozialisten, ausgepackelt werden. Und in der roten Fraktion des Europaparlaments ist Herr Swoboda kein unbedeutendes Rädchen, sondern der stellvertretende Vorsitzende. Auch im Europäischen Rat, der die Richtung der EU vorgibt, sind mit dem Briten Brown, dem Spanier Zapatero, aber auch mit Österreichs Bundeskanzler Faymann eine ganze Reihe Sozialdemokraten vertreten, die schon längst die von Swoboda kritisierten Mißstände hätten abstellen können.
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lundi, 08 juin 2009
Bruselas ocupa un lugar central en el espionaje
Bruselas ocupa un lugar central en el espionaje
Ex: http://labanderanegra.wordpress.com/
Bruselas es un nido de espías. El fin de la guerra fría no solo no ha reducido la actividad de los servicios secretos extranjeros en la capital belga, sino que ha multiplicado sus acciones y sus objetivos. Y es tan intensa que la Comisión Europea difundió hace poco una nota interna entre sus directivos para que tomaran medidas ante los intentos repetidos y crecientes de “obtener documentación confidencial y delicada” de la actividad del Ejecutivo comunitario.
La nota indicaba que “algunos países, grupos de presión, periodistas y agencias privadas intentan obtener informaciones protegidas”. Y precisaba que “personas vinculadas a servicios secretos” actúan bajo la cobertura de “becarios, periodistas, funcionarios de los estados de la Unión Europea (UE) agregados a la Comisión Europea y técnicos informáticos”.
“Bruselas es, junto a Washington y Ginebra, una de las tres ciudades clave para los servicios de espionaje de todo el mundo”, explica Kristof Clerix, autor del libro Los servicios secretos extranjeros en Bélgica. “Los métodos siguen siendo los mismos de la guerra fría: ganar la confianza y después explotar esa confianza. Lo que ha cambiado es el uso de las nuevas tecnologías y la importancia cada vez mayor de las cuestiones económicas”, precisa Clerix, periodista de la revista belga de política internacional MO. “Los grandes países no dudan en utilizar sus servicios secretos para promocionar y defender sus intereses económicos e industriales en un mundo globalizado”, añade.
“Aún más interesante”
“En asuntos políticos y militares, Bruselas es aún más interesante para los espías que en la época de la guerra fría”, destaca Clerix. La OTAN ya no se limita a la defensa de los aliados, sino que ha emprendido operaciones militares en Bosnia, Kosovo y Afganistán y ha extendido su influencia a las antiguas repúblicas soviéticas de Asia central. La UE tiene competencias en política exterior y defensa y también desarrolla operaciones militares y políticas de envergadura (Bosnia, Kosovo, Macedonia, Congo, Somalia).
Además de estas cuestiones políticas y militares clásicas, hay otros tres factores que refuerzan el interés de Bruselas para los servicios de espionaje extranjeros: la presencia en Bélgica de centros tecnológicos de uso espacial y militar, el papel del país como retaguardia del terrorismo internacional y las nutridas comunidades inmigrantes turcas, marroquís y de África central, muy activas políticamente y que son vigiladas de cerca por los gobiernos de sus países de origen.
Retaguardia del terrorismo
“En los últimos 20 años Bélgica ha desempeñado un papel importante en el terrorismo internacional. Es un país pequeño, del que es fácil huir, con una importante comunidad inmigrante musulmana”, señala Clerix. “El primer manual de yihad en la UE fue publicado en Bélgica, los asesinos del líder rebelde afgano Ahmad Sha Masud tenían pasaporte belga y quienes realizaron los atentados de Madrid tuvieron vínculos con Bélgica”, detalla Clerix.
China es uno de los nuevos actores más activos en el tablero del espionaje en Bélgica, con un interés muy marcado en la obtención de informaciones científicas y tecnológicas, pero vigilando también la cuestión tibetana, los opositores políticos y el movimiento religioso Falun Gong. Asimismo, China es especialista en utilizar a sus estudiantes para obtener informaciones, asegura Clerix.
Al margen del espionaje estadounidense a las transacciones bancarias mundiales a través de la empresa Swift –que continúa pese al escándalo que levantó–, el caso reciente más grave de espionaje se produjo en el Consejo de Ministros de la UE de forma continuada durante ocho años, hasta su detección en 2003.
Un conjunto de cinco cajas instaladas durante la construcción del edificio permitía interceptar las conversaciones telefónicas de las delegaciones de España, Francia, Alemania, Italia, el Reino Unido y Austria. Fuentes diplomáticas responsabilizaron a Israel, pero nadie se atrevió a formular una acusación oficial y los investigadores belgas recibieron instrucciones de no profundizar demasiado, según fuentes próximas al caso.
El sector privado también es víctima reiterada de los espías. En los últimos años, por ejemplo, nueve empresas del parque tecnológico de Lieja han sido víctimas del robo de discos duros y ordenadores con datos técnicos clave, mientras que los ladrones desestimaron la sustracción de material muchísimo más valioso.
Eliseo Oliveras
Extraído de Xornal.
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jeudi, 04 juin 2009
El desinterés y desconocimiento auguran une altisima abstencion en los comicios europeos en el bloque del Este
El desinterés y desconocimiento auguran una altísima abstención en los comicios europeos en el bloque del Este
Europa central y oriental apenas acudirá a votar en las elecciones europeas del 7 de junio. Al menos, eso vaticinan las encuestas. La grave crisis económica y financiera internacional, que ha colocado a países como Letonia, Hungría y Rumanía al borde de la quiebra, monopoliza la preocupación de unos ciudadanos con poca cultura democrática y escasa información sobre la naturaleza de la UE y sus órganos legislativos, y que se dejan arrastrar con bastante facilidad por la demagogia populista, que tienen adeptos tanto en las filas de la derecha como de la izquierda en países como Polonia, Chequia, Bulgaria, Rumanía o Hungría.
La debilidad de una UE dividida entre países ricos y pobres, fuertes y débiles, desanima también a muchos ciudadanos. Diez de los 27 países que acuden a las elecciones europeas (Lituania, Letonia, Estonia, Eslovenia, Hungría, Polonia, Chequia, Eslovaquia, Rumanía y Bulgaria) pertenecen al antiguo bloque del socialismo real. La mayoría ingresó en la Unión en 2004 y Bucarest y Sofía lo hicieron en 2007. Es la segunda vez que participan en comicios para renovar el Parlamento Europeo. Bulgaria y la República Checa, presidenta semestral de la UE, celebrarán las elecciones el 5 y 6 de junio, respectivamente, y Eslovaquia también el sábado.
Elecciones de segunda
El primer ministro búlgaro, el socialista Serguei Stanishev, fue el encargado de dar el pistoletazo de salida para las europeas el pasado martes en el país más pobre de la UE, donde los electores confían siete veces más en los eurodiputados que en sus parlamentarios nacionales. Pero en general los países del Este consideran las europeas como unas elecciones de segunda división, y la crisis económica juega en contra del 7-J. Los analistas políticos vaticinan por ello una campaña electoral pobre en recursos y aún más escasa en movilización y entusiasmo de la ciudadanía.
Según el Eurobarómetro, Polonia y Rumanía, los dos países del Este con mayor peso político e institucional en la UE -50 y 33 eurodiputados, respectivamente- se colocan entre los estados más europeístas, pero sus poblaciones se sitúan entre los europeos que menos acudirán a votar el 7-J. Se prevé que sólo el 13% de los polacos acudirá a las urnas, En el caso de Hungría, la abstención podría ser del 70% y del 60% en Bulgaria.
Paco Soto
Extraído de Diario Vasco.
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mercredi, 03 juin 2009
Bürokratischer Wahnsinn
Bürokratischer Wahnsinn
Acht Milliarden Euro gibt die EU allein für die Verwaltung aus
Von Andreas Mölzer
Sondersituationen wie die gegenwärtige Wirtschaftskrise erfordern Sondermaßnahmen. Alle Ausgabenposten sind auf ihre Zweckmäßigkeit hin zu überprüfen, und gegebenenfalls ist der Rotstift anzusetzen. Dabei ist das Einsparungspotential im Bereich der Beitragszahlungen Österreichs an die Europäische Union besonders groß, weshalb die Republik dringend Maßnahmen ergreifen muß, um nationale Steuerungsmaßnahmen ergreifen zu können anstatt abhängig vom Brüsseler Diktat Gelder verteilt zu bekommen. Natürlich hat Österreich als eine der reicheren Volkswirtschaften Europas einen Beitrag zur EU zu leisten – aber nicht in der Höhe und nicht in dieser Form.
In den vergangenen Jahren belief sich der österreichische Nettobeitrag auf rund 600 bis 700 Millionen Euro. Der geschätzte Nettobeitrag unseres Landes wird in der EU-Haushaltsperiode 2007 bis 2013 übrigens 6,02 Milliarden Euro betragen, was in alter Währung 83 Milliarden Schilling sind. Angesichts der gewaltigen wirtschaftlichen und finanziellen Herausforderungen, vor denen Österreich steht, wäre es mehr als sinnvoll, den heimischen Nettobeitrag auf 300 Millionen Euro zu reduzieren. Überhaupt sollte die Wirtschaftskrise – nicht nur von Österreich, sondern auch von den übrigen Mitgliedstaaten – zum Anlaß genommen werden, Zuständigkeiten und und Höhe des Haushalts der Europäischen Union auf ihre Sinnhaftigkeit hin zu überprüfen. Schließlich hat sich die EU in den vergangenen Jahrzehnten zu einem bürokratischen Monster entwickelt, das Unsummen an Steuergeldern verschlingt. So belaufen sich etwa die Verwaltungskosten auf acht Milliarden Euro, was kein Wunder ist, wenn man bedenkt, daß 40.000 Beamte im Sold Brüssels stehen. Und mit der Gier nach immer mehr Kompetenzen ist ein undurchdringlicher Dschungel an Vorschriften entstanden: Insgesamt sind es fast 130.000 Richtlinien, und das Amtsblatt der EU umfaßt 800.000 Seiten. Keine Überraschung ist, daß dieser bürokratische Wahnsinn Mißbräuchen Tür und Tor öffnet. Allein im Vorjahr entstand durch mehr als 12.000 gemeldete Unregelmäßigkeiten ein Schaden in der Höhe von 1,2 Milliarden Euro.
Die einzige Möglichkeit, um diesen Mißstand abzustellen, besteht in weitreichenden Renationalisierungen. Denn je mehr Kompetenzen die Nationalstaaten haben und je näher die Entscheidungen beim Bürger getroffen werden, desto eher werden Sparsamkeit und Zweckmäßigkeit Einzug halten.
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